Les fleurs sauvées par le circuit court
M le Monde
“ Plus un mètre carré de libre dans le studio-atelier de Louis-Géraud Castor, fleuriste vénéré du troisième arrondissement de Paris, où les brassées du jour viennent d’arriver. Confinement et fermeture des frontières obligent, depuis quelques semaines il a fallu faire dans l’hyper-local et miser sur la livraison en direct de deux exploitations d’Ile-de-France, le mardi et le jeudi. Ce n’est pas pour déplaire à l’artisan-fleuriste, habitué à composer des arrangements en fonction de ce qui a éclos la veille... “
Texte de Sabine Maida



